Le toilettage est indispensable pour la bonne santé de votre chien. Un défaut d'hygiène entraîne l'apparition de mauvaises odeurs, l'invasion de parasites, la formation de gingivites et/ou d'otites, etc. Plus encore, une mauvaise hygiène du chien influe sur son moral et son état physique. Le toilettage permet de vérifier la peau du chien sur toutes les parties de son corps. C’est ainsi que l’on pourra voir et traiter les parasites (puces, tiques, aoûtats, etc). Il sera également possible de s’apercevoir rapidement si le chien a une plaie et par conséquent de pouvoir la soigner dans les meilleurs délais. De plus, un chien qui a l’habitude d’être manipulé régulièrement se laissera davantage faire chez le vétérinaire.

Le toilettage est donc une nécessité pour tous les chiens, qu’ils soient petits ou grands, à poils longs, fins ou fournis. Exception faite pour les chiens à poil ras ou court, qui ne nécessitent pas d’entretien soutenu. Le toilettage permet d’entretenir le pelage du chien, il est un des points fondamentaux à leur apporter pour les soins courants. Cependant, tous les chiens n’ont pas besoin de la même fréquence de toilettage, Il faudra s’adapter à la longueur ou à l’épaisseur de la fourrure. Il est important de ne pas laver son chien trop régulièrement. En effet, le chien a sur sa peau une couche de sébum qui la protège de toutes les agressions extérieures. Un excès de lavage (et de shampoing) ferait disparaître ce sébum. La régularité du toilettage varie donc en fonction de la longueur du poil et de la présence de sous-poil. En ce qui concerne les chiens qui ont besoin d’une tonte ou d’une épilation, le toilettage doit être réalisé tous les 3 mois maximum. Pour les chiens qui nécessitent une coupe aux ciseaux, le toilettage devra être plus fréquent. C’est-à-dire tous les 2 mois maximum. Pour les races à poil mi-long ou court, le toilettage est nécessaire seulement lors des deux périodes de mues annuelles. Pour les chiens à poils durs et à poils courts, un à deux toilettages par an seront suffisants. Pour les chiens à poils mi-longs et longs, on conseille généralement un toilettage tous les 2 mois. Dans certains cas, un toilettage tous les 3 mois sera suffisant.

Tout d'abord, il faut savoir qu'il est recommandé d'habituer un chiot au toilettage. Il est généralement conseillé d'effectuer un premier toilettage entre 3 et 5 mois, afin d’habituer le chiot au bruit de la tondeuse et du séchoir. Si l’éleveur ne l’a pas fait, il est donc conseillé d’amener le chien rapidement chez le toiletteur pour qu’il puisse faire cette initiation au toilettage. Les races de chiens qui ont besoin d’un toilettage régulier (il peut s’agir de tonte ou de coupe aux ciseaux) doivent y être habituées dès leur plus jeune âge. En fonction de la race, le toilettage peut débuter vers 6/8 semaines pour les chiens ayant un poil qui repousse sans cesse. Vers 4/5 mois pour les autres chiens. Pour les chiens à poil fourni, tels que le Berger Australien, le Husky ou encore le Berger Allemand, l’entretien du poil peut se faire vers ses 2/3 mois, dès son arrivée chez vous.

Il incombe à chaque propriétaire de prendre soin du pelage de son chien de manière régulière en le brossant afin d’éliminer les poils morts, retirer les saletés et démêler les longs poils. Brosser son chien est un geste qui doit devenir une habitude pour préserver son pelage et être en mesure d’espacer les lavages, car cela lui permet de rester plus longtemps propre. Lors du toilettage par un professionnel, le chien est alors habitué à être manipulé. Ainsi, son état général ne l’obligera pas à rester des heures chez le toiletteur, et il n’assimilera pas ce passage à une punition longue et parfois même douloureuse, mais à un moment où l’on prendra sereinement et calmement soin de lui.

Comme pour les êtres humains, il existe une quantité de produits d’hygiène très variés : épiderme fragile, allergies, poils gras, rêches, courts, longs, fins, cassants, blancs, noirs,… La moindre des choses est donc de choisir le soin le plus adapté à l’animal, voire à sa race, et de lui proposer si nécessaire des après-shampoings complémentaires, des baumes démélants,... On peut également utiliser lors des bains des ustensiles comme des brosses pour activer la circulation sanguine. Le choix d’un éventuel parfum à l’issue du toilettage est bien sûr laissé au maître. La combinaison de produits adaptés à chaque animal permet d’obtenir un résultat optimum, à la fois pour sa santé et sa beauté. Le terme de « soins » spécifiques employé ici ne couvre que les produits ou les outils utilisés, pas les techniques appliquées selon les souhaits du maître ou les standards de la race.

La question se pose parfois pour l’être humain, elle peut l’être également pour votre animal. L’ostéopathie se situe à la frontière entre le massage et la médecine traditionnelle. Les ostéopathes sont une branche des praticiens de soins de santé primaires qui ont les compétences indispensables pour reconnaître les conditions nécessitant une référence médicale. La thérapie manuelle est principalement non invasive et sans médicament, visant à corriger le cadre musculosquelettique du patient. Egalement non invasif et sans médicament, le massage réside dans l’utilisation du toucher et de mouvements participant à la guérison, mais il se concentre essentiellement sur les tissus mous du corps. Le masseur canin n’intervient pas au niveau de la colonne vertébrale, il ne manipule pas les articulations. Un masseur canin sérieux sait quel est son domaine d’action et n’en sort pas, au risque de blesser un animal par des gestes réservés à des professionnels de la santé. Il ne « soigne » pas votre animal, mais améliore sa qualité de vie dans de nombreuses situations quotidiennes. Il sait se concentrer sur le bien-être de l’animal. Et de fait, le choix entre massage et ostéopathie est une excellente question, à laquelle la meilleure réponse est que les deux pratiques sont finalement très complémentaires.

Le massage engendre chez l’animal une sensation de bien-être car il relâche les muscles, augmente l’oxygène et la circulation sanguine dans tout le corps, et encourage la libre circulation des propres énergies du corps, ou « Chi ». L’art de guérison japonais du Reiki a des objectifs pratiques similaires : augmenter et libérer le flux d’énergie déséquilibré dans le corps. Mais alors que le massage est plus vigoureux et manipule les muscles, le Reiki n’utilise que le toucher et parfois simplement la proximité des mains du guérisseur à des parties particulières du corps, en utilisant 12 à 20 positions de mains prescrites, selon la tradition d’entraînement. Tous les animaux sont dotés d’émotions, de sentiments, de problèmes de santé qui peuvent provenir d’un stress dû à une situation spécifique : abandon, maladie, déménagement, solitude, vieillesse, anxiété, concours… Les séances de reiki sont données dans le but d’une réduction du stress et de relaxation pour une amélioration de l’état de l’animal mais aussi pour soutenir tout problème physique.  Le reiki est doux, non-intrusif et sans douleur ; il peut être donné avec ou sans contact (idéal pour les animaux peureux, agressifs ou traumatisés). Comme le massage et l’ostéopathie, massage et Reiki peuvent tout à fait être considérés comme des pratiques complémentaires, à choisir en fonction des difficultés de votre animal.

C’est bien sûr une question qui se pose lorsque l’on entreprend toute thérapie. Massage et Reiki ne font pas exception. On peut d’ailleurs y apporter une réponse similaire : quand, en tant que maître, on « sent » que son animal va mieux, et qu’on estime que ce qui vous a mené vers la praticienne est désormais résolu, ou du moins, suffisamment amélioré pour retrouver un chien en état de « bien-être », on peut envisager de mettre fin à la thérapie. Cette réponse est bien évidemment très vague, et peut même être frustrante. Mais le massage comme le Reiki ne sont pas des remèdes miracles. Il ne s’agit pas de jeter de la poudre de Perlinpinpin, mais d’appliquer des techniques professionnelles très cadrées, qui ont fait preuve de remarquables résultats dans de nombreuses circonstances. Chaque animal, chaque cas est unique et va justifier d’une prise en charge particulière : - une, deux ou trois séances de massage à une semaine d’intervalle pour un chien un peu trop craintif, ou au contraire hypermoteur ; - une séance de massage par mois pour un chien sportif qui a besoin d’entretenir sa forme et son dynamisme ; - une longue séance de Reiki pour un animal supportant mal un déménagement et ayant besoin de réaligner ses repères ; - plusieurs séances consécutives de Reiki pour un animal se relevant difficilement d’un abandon et ayant besoin de reprendre confiance dans l’être humain ; - etc… On pourrait multiplier ainsi les exemples de protocoles de séances de massage ou de Reiki, mais rien ne remplacera un entretien entre le maître et la praticienne pour tenter de comprendre les difficultés de l’animal et entreprendre une thérapie adaptée, courte ou plus longue.

Les huiles essentielles, dont les bienfaits sont reconnus pour les humains, sont bien sûr être également les amies de nos animaux. Elles peuvent par exemple accompagner un soin donné à un animal stressé en le détendant nettement. Ou bien encore être associées au massage d'articulations fragiles. Mais cette utilisation doit toujours être décidée après une discussion avec le maître pour bien comprendre la situation de l'animal et ses besoins. Enfin, les huiles essentielles retenues doivent absolument être d'une qualité irréprochable, si possible bio.

Le toilettage est indispensable pour la bonne santé de votre chien. Un défaut d'hygiène entraîne l'apparition de mauvaises odeurs, l'invasion de parasites, la formation de gingivites et/ou d'otites, etc. Plus encore, une mauvaise hygiène du chien influe sur son moral et son état physique. Le toilettage permet de vérifier la peau du chien sur toutes les parties de son corps. C’est ainsi que l’on pourra voir et traiter les parasites (puces, tiques, aoûtats, etc). Il sera également possible de s’apercevoir rapidement si le chien a une plaie et par conséquent de pouvoir la soigner dans les meilleurs délais. De plus, un chien qui a l’habitude d’être manipulé régulièrement se laissera davantage faire chez le vétérinaire.

Le toilettage est donc une nécessité pour tous les chiens, qu’ils soient petits ou grands, à poils longs, fins ou fournis. Exception faite pour les chiens à poil ras ou court, qui ne nécessitent pas d’entretien soutenu. Le toilettage permet d’entretenir le pelage du chien, il est un des points fondamentaux à leur apporter pour les soins courants. Cependant, tous les chiens n’ont pas besoin de la même fréquence de toilettage, Il faudra s’adapter à la longueur ou à l’épaisseur de la fourrure. Il est important de ne pas laver son chien trop régulièrement. En effet, le chien a sur sa peau une couche de sébum qui la protège de toutes les agressions extérieures. Un excès de lavage (et de shampoing) ferait disparaître ce sébum. La régularité du toilettage varie donc en fonction de la longueur du poil et de la présence de sous-poil. En ce qui concerne les chiens qui ont besoin d’une tonte ou d’une épilation, le toilettage doit être réalisé tous les 3 mois maximum. Pour les chiens qui nécessitent une coupe aux ciseaux, le toilettage devra être plus fréquent. C’est-à-dire tous les 2 mois maximum. Pour les races à poil mi-long ou court, le toilettage est nécessaire seulement lors des deux périodes de mues annuelles. Pour les chiens à poils durs et à poils courts, un à deux toilettages par an seront suffisants. Pour les chiens à poils mi-longs et longs, on conseille généralement un toilettage tous les 2 mois. Dans certains cas, un toilettage tous les 3 mois sera suffisant.

Tout d'abord, il faut savoir qu'il est recommandé d'habituer un chiot au toilettage. Il est généralement conseillé d'effectuer un premier toilettage entre 3 et 5 mois, afin d’habituer le chiot au bruit de la tondeuse et du séchoir. Si l’éleveur ne l’a pas fait, il est donc conseillé d’amener le chien rapidement chez le toiletteur pour qu’il puisse faire cette initiation au toilettage. Les races de chiens qui ont besoin d’un toilettage régulier (il peut s’agir de tonte ou de coupe aux ciseaux) doivent y être habituées dès leur plus jeune âge. En fonction de la race, le toilettage peut débuter vers 6/8 semaines pour les chiens ayant un poil qui repousse sans cesse. Vers 4/5 mois pour les autres chiens. Pour les chiens à poil fourni, tels que le Berger Australien, le Husky ou encore le Berger Allemand, l’entretien du poil peut se faire vers ses 2/3 mois, dès son arrivée chez vous.

Il incombe à chaque propriétaire de prendre soin du pelage de son chien de manière régulière en le brossant afin d’éliminer les poils morts, retirer les saletés et démêler les longs poils. Brosser son chien est un geste qui doit devenir une habitude pour préserver son pelage et être en mesure d’espacer les lavages, car cela lui permet de rester plus longtemps propre. Lors du toilettage par un professionnel, le chien est alors habitué à être manipulé. Ainsi, son état général ne l’obligera pas à rester des heures chez le toiletteur, et il n’assimilera pas ce passage à une punition longue et parfois même douloureuse, mais à un moment où l’on prendra sereinement et calmement soin de lui.

Comme pour les êtres humains, il existe une quantité de produits d’hygiène très variés : épiderme fragile, allergies, poils gras, rêches, courts, longs, fins, cassants, blancs, noirs,… La moindre des choses est donc de choisir le soin le plus adapté à l’animal, voire à sa race, et de lui proposer si nécessaire des après-shampoings complémentaires, des baumes démélants,... On peut également utiliser lors des bains des ustensiles comme des brosses pour activer la circulation sanguine. Le choix d’un éventuel parfum à l’issue du toilettage est bien sûr laissé au maître. La combinaison de produits adaptés à chaque animal permet d’obtenir un résultat optimum, à la fois pour sa santé et sa beauté. Le terme de « soins » spécifiques employé ici ne couvre que les produits ou les outils utilisés, pas les techniques appliquées selon les souhaits du maître ou les standards de la race.

La question se pose parfois pour l’être humain, elle peut l’être également pour votre animal. L’ostéopathie se situe à la frontière entre le massage et la médecine traditionnelle. Les ostéopathes sont une branche des praticiens de soins de santé primaires qui ont les compétences indispensables pour reconnaître les conditions nécessitant une référence médicale. La thérapie manuelle est principalement non invasive et sans médicament, visant à corriger le cadre musculosquelettique du patient. Egalement non invasif et sans médicament, le massage réside dans l’utilisation du toucher et de mouvements participant à la guérison, mais il se concentre essentiellement sur les tissus mous du corps. Le masseur canin n’intervient pas au niveau de la colonne vertébrale, il ne manipule pas les articulations. Un masseur canin sérieux sait quel est son domaine d’action et n’en sort pas, au risque de blesser un animal par des gestes réservés à des professionnels de la santé. Il ne « soigne » pas votre animal, mais améliore sa qualité de vie dans de nombreuses situations quotidiennes. Il sait se concentrer sur le bien-être de l’animal. Et de fait, le choix entre massage et ostéopathie est une excellente question, à laquelle la meilleure réponse est que les deux pratiques sont finalement très complémentaires.

Le massage engendre chez l’animal une sensation de bien-être car il relâche les muscles, augmente l’oxygène et la circulation sanguine dans tout le corps, et encourage la libre circulation des propres énergies du corps, ou « Chi ». L’art de guérison japonais du Reiki a des objectifs pratiques similaires : augmenter et libérer le flux d’énergie déséquilibré dans le corps. Mais alors que le massage est plus vigoureux et manipule les muscles, le Reiki n’utilise que le toucher et parfois simplement la proximité des mains du guérisseur à des parties particulières du corps, en utilisant 12 à 20 positions de mains prescrites, selon la tradition d’entraînement. Tous les animaux sont dotés d’émotions, de sentiments, de problèmes de santé qui peuvent provenir d’un stress dû à une situation spécifique : abandon, maladie, déménagement, solitude, vieillesse, anxiété, concours… Les séances de reiki sont données dans le but d’une réduction du stress et de relaxation pour une amélioration de l’état de l’animal mais aussi pour soutenir tout problème physique.  Le reiki est doux, non-intrusif et sans douleur ; il peut être donné avec ou sans contact (idéal pour les animaux peureux, agressifs ou traumatisés). Comme le massage et l’ostéopathie, massage et Reiki peuvent tout à fait être considérés comme des pratiques complémentaires, à choisir en fonction des difficultés de votre animal.

C’est bien sûr une question qui se pose lorsque l’on entreprend toute thérapie. Massage et Reiki ne font pas exception. On peut d’ailleurs y apporter une réponse similaire : quand, en tant que maître, on « sent » que son animal va mieux, et qu’on estime que ce qui vous a mené vers la praticienne est désormais résolu, ou du moins, suffisamment amélioré pour retrouver un chien en état de « bien-être », on peut envisager de mettre fin à la thérapie. Cette réponse est bien évidemment très vague, et peut même être frustrante. Mais le massage comme le Reiki ne sont pas des remèdes miracles. Il ne s’agit pas de jeter de la poudre de Perlinpinpin, mais d’appliquer des techniques professionnelles très cadrées, qui ont fait preuve de remarquables résultats dans de nombreuses circonstances. Chaque animal, chaque cas est unique et va justifier d’une prise en charge particulière : - une, deux ou trois séances de massage à une semaine d’intervalle pour un chien un peu trop craintif, ou au contraire hypermoteur ; - une séance de massage par mois pour un chien sportif qui a besoin d’entretenir sa forme et son dynamisme ; - une longue séance de Reiki pour un animal supportant mal un déménagement et ayant besoin de réaligner ses repères ; - plusieurs séances consécutives de Reiki pour un animal se relevant difficilement d’un abandon et ayant besoin de reprendre confiance dans l’être humain ; - etc… On pourrait multiplier ainsi les exemples de protocoles de séances de massage ou de Reiki, mais rien ne remplacera un entretien entre le maître et la praticienne pour tenter de comprendre les difficultés de l’animal et entreprendre une thérapie adaptée, courte ou plus longue.

Les huiles essentielles, dont les bienfaits sont reconnus pour les humains, sont bien sûr être également les amies de nos animaux. Elles peuvent par exemple accompagner un soin donné à un animal stressé en le détendant nettement. Ou bien encore être associées au massage d'articulations fragiles. Mais cette utilisation doit toujours être décidée après une discussion avec le maître pour bien comprendre la situation de l'animal et ses besoins. Enfin, les huiles essentielles retenues doivent absolument être d'une qualité irréprochable, si possible bio.